J’ai testé le sac Nathan FireCatcher
Achat impulsif, locution
Définition : acquisition non planifiée d’un produit ou d’un service, dépourvue en amont d’une solide réflexion. Très souvent, l’achat impulsif conduit à des conséquences néfastes sur le porte-monnaie.
Synonymes : achat d’impulsion, achat spontané
Citation : Séduite par le sac Nathan FireCatcher, Carole a cédé à un achat impulsif.
Ai-je eu raison, ai-je eu tord ? Vous le saurez à l’issue de ce test.
Les caractéristiques du FireCatcher
Le FireCatcher est composé :
D’une poche arrière : elle a pour avantage de pouvoir contenir une bonne vingtaine de barres énergétiques (testé et approuvé !). En revanche, les barres situées au fond de la poche seront très difficiles d’accès !
De deux gourdes : situées à l’avant du sac sur chacune des bretelles, elles ont une contenance de 300 mL. Bonne surprise dès la première utilisation : l’eau contenue dans les gourdes n’a qu’un très léger goût de plastique ! De plus, elles sont très faciles d’utilisation : nul besoin de se servir de sa main pour tirer l’embout.
De deux poches pour les gourdes : situées sur chacune des bretelles, les gourdes rentrent parfaitement dans les poches et il est très facile de les extraire. La poche gauche comporte elle-même une mini poche, dans laquelle le coureur peut y rentrer ses emballages alimentaires.
D’une mini poche située sur la bretelle droite : mais… à quoi peut-elle donc servir ? Carrés de sucre, pâtes de fruit, épingles, piles électriques pour recharger une lampe frontale : on a réfléchi à tout ! Et bien non, après vérification sur la fiche produit, ladite poche est dédiée aux pastilles de sel. Ceci dit, libre à chacun d’en faire l’usage souhaité !
D’une poche pour smartphone située sur la bretelle gauche : attention ! Elle n’est pas compatible avec tous les smartphones (N’essayez pas d’y rentrer le Samsung Galaxy S5 !)
De larges bretelles : j’ai couru avec FireCatcher sur le marathon Touraine Loire Valley dimanche dernier. Je n’ai eu aucun frottement au niveau des épaules.
De deux sangles ventrales : La sangle inférieure est facile à régler. En revanche, la sangle supérieure située au niveau de la poitrine, conçue dans un tissu très (voire trop !) doux et fin a la fâcheuse tendance à se desserrer, à moins de l’enrouler dans une petite boucle. Illustration ci-dessous :
De deux sangles latérales : elles aussi ajustables.
De bandes réfléchissantes : situées sur l’une des poches contenant une gourde et sur la poche arrière, elles suffisent à se rendre visible lors de sorties nocturnes.
A qui est destiné le FireCatcher ?
Léger, pratique et doté de deux petites gourdes, le FireCatcher convient à mon sens à tous les runners, couvrant une distance allant du 10 km à l’ultra (sous réserve qu’il respecte les caractéristiques de l’équipement obligatoire). Le coureur à la recherche de performances y trouvera son compte du fait que les gourdes sont très faciles d’accès.
Mon bilan
Les points forts :
- son effet seconde peau qui le rend très stable. En anglais, l’appellation d’origine est « race vest » (gilet de course)
- sa simplicité d’utilisation
- la qualité des gourdes
- les coloris vifs qui tranchent avec la sobriété de la plupart des Camelbak
Les axes d’amélioration :
- le prix
- la poche arrière difficilement accessible
- les sangles ventrales qui pendouillent à moins de passer cinq minutes à les ranger
Ma note : 7 / 10
Disponible en version bleue / verte
Prix : 70,00€
Disponible chez : Endurance Shop